Initiation au Grec Ancien
--- Introduction ---
Bienvenue dans le module "Initiation au Grec Ancien", réalisé par Michele Biraud, professeur au Département de Lettres Classiques de l'Université Nice Sophia Antipolis
Ce module regroupe 39 exercices qui vous permettront de vous initier au grec ancien.
Pour une véritable initiation au grec ancien, nous vous conseillons de consulter le contexte d'origine de ces exercices : le cours en ligne "Lecture de textes en grec classique".
Vous y trouverez les exercices de ce module à partir de la lecon 2. Mais vous pouvez également directement vous entrainer (ou proposer ces exercices dans votre classe) avec les exercices ci-dessous si vous le désirez. Leur titre indique à chaque fois quel point de linguistique est concerné, et entre parenthèses le texte utilisé comme support.
Avant propos
Ce module utilise la police de caractères libre de droits "SPionic" pour afficher les caractères grecs.
Cette police permet de lire les textes grecs écrits avec le système polytonique.
Afin de répondre correctement aux exercices de type "Texte à trou" avec votre clavier habituel, munissez-vous du Tableau de correspondance clavier (pdf).
Traduction (Les enfants de Cronos)
L'article (Les enfants de Cronos)
Surligner dans le texte les formes de l'article et le nom qu'elles déterminent.
- Rem. 1 : Ce nom n'est pas nécessairement juste après l'article : il peut y avoir entre eux diverses déterminations du nom.
- Rem. 2 : Le nom n'a pas nécessairement la même finale que l'article (par exemple tou= paido&j mais ils sont au même cas (ici, le génitif singulier))
Texte grec | Traduction française |
| - Kronos, ayant épousé sa sœur
- Rhéa,
- comme Gê et Ouranos lui avaient
- dit que par son propre fils
- le pouvoir lui serait confisqué,
- avalait ses enfants.
- Et il avala la première
- née, Hestia,
- puis Dèmèter et Hèra ,
- et avec elles Plouton
- et Poseidon.
- S’irritant contre cela,
- Rhéa se rend en
- Crète,
- et elle enfante Zeus dans une grotte du
- Dictè.
- Et elle donne celui-ci à élever
- aux Courètes et aux nymphes
- enfants de Mélisseus,
- Adrasteia et Idè.
- Celles-ci nourrissaient donc l’enfant
- avec le lait de la <chèvre> Amalthée,
- tandis que les Courètes en armes
- dans la grotte gardant l’enfant,
- avec leurs lances,
- frappaient leurs boucliers
- pour que Cronos n’entende pas
- la voix de l’enfant.
- Et Rhéa, ayant emmailloté une pierre,
- la donna à avaler à Kronos
- comme <si c’était> l’enfant nouveau-né.
|
Traduction (Les épouses de Zeus)
Compléments d'objet à l'accusatif (Les épouses de Zeus)
Surligner (cliquer sur) les compléments d'objet à l'accusatif.
Texte grec | Traduction française |
| - Zeus épouse Hèra
- et il engendre Hèbè, Eileithyia,
- Arès,
- et il s’unit à de nombreuses
- femmes
- mortelles et immortelles.
- De Thémis, fille d’Ouranos,
- il a pour filles les Heures,
- Paix, Equité et Justice,
- les Parques, Clotho, Lachésis
- et Atropos;
- de Diônè, Aphrodite,
- d’ Eurynomè fille d’Océan,
- les Grâces,
- Aglaué, Euphrosunè et Thalia;
- de Styx, Perséphone,
- de Mémoire , les Muses,
- Calliope la première,
- Puis Clio, Melpomène,
- Euterpe,Erato,
- Terpsichore, Uranie,
- Thalie, Polymnie.
|
Traduction (Anacreonta fr 21)
Traduction (Anacreonta fr 48)
Conjuguaison - Le présent à l'actif
L'impératif (Oedipe et Jocaste)
Cliquer sur les deux verbes à la 2e personne du singulier de l'impératif.
Texte grec | Traduction française |
| -
- Œ.– Et où est cet endroit où ce malheur eut lieu ?
- Jo.– Le pays s'appelle la Phocide, le croisement
- est celui où les routes venant de Delphes et de Daulia mènent vers le même endroit.
- Œ.– Et combien de temps s'est-il passé depuis ?
- Jo.– <C'est> un peu avant que toi,
- tu te révèles ayant (=avoir) le pouvoir sur cette terre <que> ceci fut proclamé à la ville.
- Œ.– O Zeus, qu'as-tu décidé de faire à mon sujet ?
- Jo.– En quoi ceci est-il préoccupant pour toi, Œdipe ?
- Œ.– Ne me demande rien encore. Mais Laïos,
- dis-moi quel était son aspect. Quel âge portait-il ?
- Jo.– <Il était> grand, sa tête commençait juste à blanchir,
- il n'était pas très éloigné de ton aspect.
- Œ.– Hélas! malheureux! Il semble que, sans le savoir,
- je me suis jeté à moi-même de terribles imprécations.
- Jo.– Que dis-tu ? Certes j'hésite à te regarder, ô roi!
- [ … ]
- Œ.– Est-ce qu'il voyageait modeste,
- ou ayant beaucoup d'hommes d'armes, comme un homme souverain ?
- Jo.– Ils étaient cinq à eux tous, et parmi eux
- était un héraut; un seul char menait Laïos.
|
Les phrases interrogatives (Oedipe et Jocaste)
Avec l’aide de la ponctuation finale (;), repérer les phrases interrogatives.
Cliquer sur les huit adverbes ou pronoms interrogatifs qui les introduisent.
Grec ancien | Français |
| -
- Œ.– Et où est cet endroit où ce malheur eut lieu ?
- Jo.– Le pays s'appelle la Phocide, le croisement
- est celui où les routes venant de Delphes et de Daulia mènent vers le même endroit.
- Œ.– Et combien de temps s'est-il passé depuis ?
- Jo.– <C'est> un peu avant que toi,
- tu te révèles ayant (=avoir) le pouvoir sur cette terre <que> ceci fut proclamé à la ville.
- Œ.– O Zeus, qu'as-tu décidé de faire à mon sujet ?
- Jo.– En quoi ceci est-il préoccupant pour toi, Œdipe ?
- Œ.– Ne me demande rien encore. Mais Laïos,
- dis-moi quel était son aspect. Quel âge portait-il ?
- Jo.– <Il était> grand, sa tête commençait juste à blanchir,
- il n'était pas très éloigné de ton aspect.
- Œ.– Hélas! malheureux! Il semble que, sans le savoir,
- je me suis jeté à moi-même de terribles imprécations.
- Jo.– Que dis-tu ? Certes j'hésite à te regarder, ô roi!
- [ … ]
- Œ.– Est-ce qu'il voyageait modeste,
- ou ayant beaucoup d'hommes d'armes, comme un homme souverain ?
- Jo.– Ils étaient cinq à eux tous, et parmi eux
- était un héraut; un seul char menait Laïos.
|
Les connecteurs (Oedipe et Jocaste)
Cliquer sur les mots de liaison. Repérer les éléments coordonnés par kai&.
Repérer les éléments associés par me_n et de_.
| -
- Œ.– Et où est cet endroit où ce malheur eut lieu ?
- Jo.– Le pays s'appelle la Phocide, le croisement
- est celui où les routes venant de Delphes et de Daulia mènent vers le même endroit.
- Œ.– Et combien de temps s'est-il passé depuis ?
- Jo.– <C'est> un peu avant que toi,
- tu te révèles ayant (=avoir) le pouvoir sur cette terre <que> ceci fut proclamé à la ville.
- Œ.– O Zeus, qu'as-tu décidé de faire à mon sujet ?
- Jo.– En quoi ceci est-il préoccupant pour toi, Œdipe ?
- Œ.– Ne me demande rien encore. Mais Laïos,
- dis-moi quel était son aspect. Quel âge portait-il ?
- Jo.– <Il était> grand, sa tête commençait juste à blanchir,
- il n'était pas très éloigné de ton aspect.
- Œ.– Hélas! malheureux! Il semble que, sans le savoir,
- je me suis jeté à moi-même de terribles imprécations.
- Jo.– Que dis-tu ? Certes j'hésite à te regarder, ô roi!
- [ … ]
- Œ.– Est-ce qu'il voyageait modeste,
- ou ayant beaucoup d'hommes d'armes, comme un homme souverain ?
- Jo.– Ils étaient cinq à eux tous, et parmi eux
- était un héraut; un seul char menait Laïos.
|
L'indicatif (Oedipe et Jocaste)
Avec l’aide de la traduction, cliquer sur les quatre verbes à la 1e et à la 2e personne du singulier de l'indicatif.
| -
- Œ.– Et où est cet endroit où ce malheur eut lieu ?
- Jo.– Le pays s'appelle la Phocide, le croisement
- est celui où les routes venant de Delphes et de Daulia mènent vers le même endroit.
- Œ.– Et combien de temps s'est-il passé depuis ?
- Jo.– <C'est> un peu avant que toi,
- tu te révèles ayant (=avoir) le pouvoir sur cette terre <que> ceci fut proclamé à la ville.
- Œ.– O Zeus, qu'as-tu décidé de faire à mon sujet ?
- Jo.– En quoi ceci est-il préoccupant pour toi, Œdipe ?
- Œ.– Ne me demande rien encore. Mais Laïos,
- dis-moi quel était son aspect. Quel âge portait-il ?
- Jo.– <Il était> grand, sa tête commençait juste à blanchir,
- il n'était pas très éloigné de ton aspect.
- Œ.– Hélas! malheureux! Il semble que, sans le savoir,
- je me suis jeté à moi-même de terribles imprécations.
- Jo.– Que dis-tu ? Certes j'hésite à te regarder, ô roi!
- [ … ]
- Œ.– Est-ce qu'il voyageait modeste,
- ou ayant beaucoup d'hommes d'armes, comme un homme souverain ?
- Jo.– Ils étaient cinq à eux tous, et parmi eux
- était un héraut; un seul char menait Laïos.
|
Une fois votre exercice validé, vous verrez apparaitre un encadré autour des réponses attendues
Les verbes à l’infinitif (Querelle fratricide)
Cliquer dans le texte sur les verbes à l’infinitif (si besoin est, revoir Précis de Morphologie, §9).
La proposition infinitive (Querelle fratricide)
Repérer les groupes nominaux à l’accusatif.
Particules de liaison (Antigone)
Lire le texte à haute voix. Le relire en cliquant sur les particules par lesquelles les phrases sont reliées entre elles.
Groupes nominaux au génitif (Antigone)
Identifier les groupes nominaux au génitif (en cliquant dessus).
Groupes nominaux au génitif (Médée)
Lire le texte une première fois, puis le relire en cliquant sur les groupes nominaux au génitif
Groupes nominaux au datif (Médée)
Cliquez sur les groupes nominaux qui sont au datif.
Imparfait (Le lion de Némée)
Avec l'aide de la traduction, retrouver dans le texte grec les verbes à l'indicatif imparfait et cliquer dessus.
| - D'abord donc Eurysthée lui (= Héraclès) ordonna
- de rapporter la peau du lion de Némée ;
- c'était un animal invulnérable
- engendré par Typhon.
- En route donc pour attaquer le lion,
- il vint à Cléonaï,
- et il y est accueilli en hôte
- chez un pauvre travailleur, Molorchos,
- et à celui-ci qui voulait sacrifier une victime,
- il dit d'attendre le trentième jour;
- et s'il revenait sauf de la chasse,
- de sacrifier à Zeus Sauveur;
- mais s'il mourait,
- alors de la lui offrir comme à un héros.
- Arrivant à Némée,
- après avoir cherché le lion,
- il lui envoya d'abord des flèches;
- mais comme il apprit
- qu'il était invulnérable,
- en brandissant sa massue, il le poursuivait.
- Et lui s'étant réfugié
- dans une grotte à double entrée,
- il boucha un orifice,
- et par l'autre entra attaquer la bête ;
- et lui ayant mis le bras autour du cou,
- il le tint serré
- jusqu'au moment où il l’étouffa;
- et l'ayant placé sur ses épaules,
- il le ramena à Cléonaï.
- Trouvant Molorchos,
- au dernier des jours,
- qui s'apprêtait à lui offrir le sacrifice
- comme à un mort,
- après avoir sacrifié à Zeus Sauveur,
- il amena le lion à Mycènes.
- Eurysthée, stupéfait
- de sa bravoure,
- lui interdit pour l'avenir
- d'entrer dans la ville ;
- et il lui ordonnait d'exposer ses trophées
- devant les portes.
|
Aoriste de l'indicatif (Le lion de Némée)
Avec l'aide de la traduction, retrouver dans le texte grec les verbes à l'indicatif aoriste (lignes 1-6, 16-27, 36-39) et cliquer dessus.
| - D'abord donc Eurysthée lui (= Héraclès) ordonna
- de rapporter la peau du lion de Némée ;
- c'était un animal invulnérable
- engendré par Typhon.
- En route donc pour attaquer le lion,
- il vint à Cléonaï,
- et il y est accueilli en hôte
- chez un pauvre travailleur, Molorchos,
- et à celui-ci qui voulait sacrifier une victime,
- il dit d'attendre le trentième jour;
- et s'il revenait sauf de la chasse,
- de sacrifier à Zeus Sauveur;
- mais s'il mourait,
- alors de la lui offrir comme à un héros.
- Arrivant à Némée,
- après avoir cherché le lion,
- il lui envoya d'abord des flèches;
- mais comme il apprit
- qu'il était invulnérable,
- en brandissant sa massue, il le poursuivait.
- Et lui s'étant réfugié
- dans une grotte à double entrée,
- il boucha un orifice,
- et par l'autre entra attaquer la bête ;
- et lui ayant mis le bras autour du cou,
- il le tint serré
- jusqu'au moment où il l’étouffa;
- et l'ayant placé sur ses épaules,
- il le ramena à Cléonaï.
- Trouvant Molorchos,
- au dernier des jours,
- qui s'apprêtait à lui offrir le sacrifice
- comme à un mort,
- après avoir sacrifié à Zeus Sauveur,
- il amena le lion à Mycènes.
- Eurysthée, stupéfait
- de sa bravoure,
- lui interdit pour l'avenir
- d'entrer dans la ville ;
- et il lui ordonnait d'exposer ses trophées
- devant les portes.
|
Les verbes suivis de l'infinitif (Le lion de Némée)
Les verbes qui signifient parler, penser, ordonner, pouvoir ou vouloir peuvent avoir un infinitif pour complément.
Parmi les verbes du texte, identifier les infinitifs. (cliquez dessus pour les surligner)
Texte Grec | Traduction française |
| - D'abord donc Eurysthée lui (= Héraclès) ordonna
- de rapporter la peau du lion de Némée ;
- c'était un animal invulnérable
- engendré par Typhon.
- En route donc pour attaquer le lion,
- il vint à Cléonaï,
- et il y est accueilli en hôte
- chez un pauvre travailleur, Molorchos,
- et à celui-ci qui voulait sacrifier une victime,
- il dit d'attendre le trentième jour;
- et s'il revenait sauf de la chasse,
- de sacrifier à Zeus Sauveur;
- mais s'il mourait,
- alors de la lui offrir comme à un héros.
- Arrivant à Némée,
- après avoir cherché le lion,
- il lui envoya d'abord des flèches;
- mais comme il apprit
- qu'il était invulnérable,
- en brandissant sa massue, il le poursuivait.
- Et lui s'étant réfugié
- dans une grotte à double entrée,
- il boucha un orifice,
- et par l'autre entra attaquer la bête ;
- et lui ayant mis le bras autour du cou,
- il le tint serré
- jusqu'au moment où il l’étouffa;
- et l'ayant placé sur ses épaules,
- il le ramena à Cléonaï.
- Trouvant Molorchos,
- au dernier des jours,
- qui s'apprêtait à lui offrir le sacrifice
- comme à un mort,
- après avoir sacrifié à Zeus Sauveur,
- il amena le lion à Mycènes.
- Eurysthée, stupéfait
- de sa bravoure,
- lui interdit pour l'avenir
- d'entrer dans la ville ;
- et il lui ordonnait d'exposer ses trophées
- devant les portes.
|
Imparfait et Aoriste de l'indicatif (Fable du voleur)
Cliquer sur les verbes à l’imparfait et à l’aoriste de l’indicatif.
Combien en comptez-vous ?
| - Un voleur s'arrêta
- dans une auberge.
- Il……………………………….
- attendant de voler quelque chose.
- Comme…………
- ……………….
- une des journées, voyant
- l'aubergiste vêtu
- d'un habit élégant et neuf
- et assis
- devant la porte de…………..
- et comme personne d'autre
- ne se trouvait là,
- le …………………………………..
- …………………………………….et
- ……………………………………….
- Et, ayant conversé
- un moment suffisant,
- le voleur se mit à bâiller et
- en même temps que le bâillement
- il se mit à hurler comme un loup.
- L' ……………………………. :
- "Pourquoi ……………. …… …"
- Et le ……………………. :
- "Maintenant je vais te le dire;
- mais j'ai besoin de toi,
- garde mes habits
- car ici…………………..
- moi, je ne sais
- d'où me vient
- de bâiller ainsi,
- ce qui est sûr, c'est que (gou=n)
- lorsque j'ai bâillé trois coups, je …………………… … …"
- Et, ayant dit cela
- il bailla une deuxième fois.
- et hurla de nouveau,
- comme auparavant.
- Donc, l'aubergiste, entendant cela
- et ajoutant foi aux paroles du voleur
- fut saisi de terreur,
- et se levant, il……….
- Mais le voleur, le saisissant
- par son vêtement, ……………
- ………… :
- "Reste
- et ……………………………..
- pour que je ne les perde pas."
- Et……………………………
- ouvrant la bouche
- il se mit à bâiller une troisième fois.
- L'……………, de peur
- qu'il ne le mange,
- abandonna son propre habit
- et, rentrant en courant
- dans l'auberge,
- il se mit en sécurité.
-
- Et……………………………..
- ……….
- Ainsi s'instruisent ceux qui
- ajoutent foi à ce qui n'est pas vrai.
|
Circonstances spatiales (Fable du Voleur)
Cliquer sur les adverbes et les groupes prépositionnels exprimant les circonstances spatiales du récit dans les lignes 1-16.
| - Un voleur s'arrêta
- dans une auberge.
- Il……………………………….
- attendant de voler quelque chose.
- Comme…………
- ……………….
- une des journées, voyant
- l'aubergiste vêtu
- d'un habit élégant et neuf
- et assis
- devant la porte de…………..
- et comme personne d'autre
- ne se trouvait là,
- le …………………………………..
- …………………………………….et
- ……………………………………….
|
Mots de liaison (Fable du voleur)
À chaque fois que la fonction sujet change de personnage, cliquez sur ce nouveau sujet (ou sur la forme verbale au participe qui en porte les marques de genre et de nombre) et sur le mot de liaison qui sert de charnière.
| - Un voleur s'arrêta
- dans une auberge.
- Il……………………………….
- attendant de voler quelque chose.
- Comme…………
- ……………….
- une des journées, voyant
- l'aubergiste vêtu
- d'un habit élégant et neuf
- et assis
- devant la porte de…………..
- et comme personne d'autre
- ne se trouvait là,
- le …………………………………..
- …………………………………….et
- ……………………………………….
- Et, ayant conversé
- un moment suffisant,
- le voleur se mit à bâiller et
- en même temps que le bâillement
- il se mit à hurler comme un loup.
- L' ……………………………. :
- "Pourquoi ……………. …… …"
- Et le ……………………. :
- "Maintenant je vais te le dire;
- mais j'ai besoin de toi,
- garde mes habits
- car ici…………………..
- moi, je ne sais
- d'où me vient
- de bâiller ainsi,
- ce qui est sûr, c'est que (gou=n)
- lorsque j'ai bâillé trois coups, je …………………… … …"
- Et, ayant dit cela
- il bailla une deuxième fois.
- et hurla de nouveau,
- comme auparavant.
- Donc, l'aubergiste, entendant cela
- et ajoutant foi aux paroles du voleur
- fut saisi de terreur,
- et se levant, il……….
- Mais le voleur, le saisissant
- par son vêtement, ……………
- ………… :
- "Reste
- et ……………………………..
- pour que je ne les perde pas."
- Et……………………………
- ouvrant la bouche
- il se mit à bâiller une troisième fois.
- L'……………, de peur
- qu'il ne le mange,
- abandonna son propre habit
- et, rentrant en courant
- dans l'auberge,
- il se mit en sécurité.
-
- Et……………………………..
- ……….
- Ainsi s'instruisent ceux qui
- ajoutent foi à ce qui n'est pas vrai.
|
Mots de liaison introductifs (Fable du voleur)
La ruse imaginée par le voleur de se faire passer pour un loup-garou constitue la partie centrale (la Dy : 17-50).
Servent de déclencheurs d’une part une conversation qui permet d’introduire la ruse (Tr : 5-16) et d’autre part, la fuite de l’aubergiste (Ré : 51-56).
La machination elle-même se déroule en trois temps, scandés par la reprise d’un même verbe : e0xasmh&sato, h1rcato xasma~sqai.
Consultez notre Essentiel de Grammaire textuelle pour plus d'infos...
Cliquer sur les mots de liaison qui introduisent ces trois moments successifs.
| - Un voleur s'arrêta
- dans une auberge.
- Il……………………………….
- attendant de voler quelque chose.
- Comme…………
- ……………….
- une des journées, voyant
- l'aubergiste vêtu
- d'un habit élégant et neuf
- et assis
- devant la porte de…………..
- et comme personne d'autre
- ne se trouvait là,
- le …………………………………..
- …………………………………….et
- ……………………………………….
- Et, ayant conversé
- un moment suffisant,
- le voleur se mit à bâiller et
- en même temps que le bâillement
- il se mit à hurler comme un loup.
- L' ……………………………. :
- "Pourquoi ……………. …… …"
- Et le ……………………. :
- "Maintenant je vais te le dire;
- mais j'ai besoin de toi,
- garde mes habits
- car ici…………………..
- moi, je ne sais
- d'où me vient
- de bâiller ainsi,
- ce qui est sûr, c'est que (gou=n)
- lorsque j'ai bâillé trois coups, je …………………… … …"
- Et, ayant dit cela
- il bailla une deuxième fois.
- et hurla de nouveau,
- comme auparavant.
- Donc, l'aubergiste, entendant cela
- et ajoutant foi aux paroles du voleur
- fut saisi de terreur,
- et se levant, il……….
- Mais le voleur, le saisissant
- par son vêtement, ……………
- ………… :
- "Reste
- et ……………………………..
- pour que je ne les perde pas."
- Et……………………………
- ouvrant la bouche
- il se mit à bâiller une troisième fois.
- L'……………, de peur
- qu'il ne le mange,
- abandonna son propre habit
- et, rentrant en courant
- dans l'auberge,
- il se mit en sécurité.
-
- Et……………………………..
- ……….
- Ainsi s'instruisent ceux qui
- ajoutent foi à ce qui n'est pas vrai.
|
Traduction (Fable du voleur)
Les adverbes (Fable du voleur)
Cliquer sur les adverbes et les groupes prépositionnels exprimant les circonstances spatiales du récit dans les lignes 1-16.
Dans les lignes 1-8, il y a deux compléments de temps : l'un exprime la date, l'autre la durée; les relever ; à quels cas sont-ils?
| - Un voleur s'arrêta
- dans une auberge.
- Il……………………………….
- attendant de voler quelque chose.
- Comme…………
- ……………….
- une des journées, voyant
- l'aubergiste vêtu
- d'un habit élégant et neuf
- et assis
- devant la porte de…………..
- et comme personne d'autre
- ne se trouvait là,
- le …………………………………..
- …………………………………….et
- ……………………………………….
|
Les impératifs (Fable du voleur)
Repérer les impératifs dans les dialogues du texte :
| - Un voleur s'arrêta
- dans une auberge.
- Il……………………………….
- attendant de voler quelque chose.
- Comme…………
- ……………….
- une des journées, voyant
- l'aubergiste vêtu
- d'un habit élégant et neuf
- et assis
- devant la porte de…………..
- et comme personne d'autre
- ne se trouvait là,
- le …………………………………..
- …………………………………….et
- ……………………………………….
- Et, ayant conversé
- un moment suffisant,
- le voleur se mit à bâiller et
- en même temps que le bâillement
- il se mit à hurler comme un loup.
- L' ……………………………. :
- "Pourquoi ……………. …… …"
- Et le ……………………. :
- "Maintenant je vais te le dire;
- mais j'ai besoin de toi,
- garde mes habits
- car ici…………………..
- moi, je ne sais
- d'où me vient
- de bâiller ainsi,
- ce qui est sûr, c'est que (gou=n)
- lorsque j'ai bâillé trois coups, je …………………… … …"
- Et, ayant dit cela
- il bailla une deuxième fois.
- et hurla de nouveau,
- comme auparavant.
- Donc, l'aubergiste, entendant cela
- et ajoutant foi aux paroles du voleur
- fut saisi de terreur,
- et se levant, il……….
- Mais le voleur, le saisissant
- par son vêtement, ……………
- ………… :
- "Reste
- et ……………………………..
- pour que je ne les perde pas."
- Et……………………………
- ouvrant la bouche
- il se mit à bâiller une troisième fois.
- L'……………, de peur
- qu'il ne le mange,
- abandonna son propre habit
- et, rentrant en courant
- dans l'auberge,
- il se mit en sécurité.
-
- Et……………………………..
- ……….
- Ainsi s'instruisent ceux qui
- ajoutent foi à ce qui n'est pas vrai.
|
Les marques de l'interlocuteur (Fable du voleur)
Dans les parties dialoguées, cliquer sur les marques de l'interlocuteur (pronoms personnels et désinences personnelles).
[...]
[...] | [...] - Et, ayant conversé
- un moment suffisant,
- le voleur se mit à bâiller et
- en même temps que le bâillement
- il se mit à hurler comme un loup.
- L' ……………………………. :
- "Pourquoi ……………. …… …"
- Et le ……………………. :
- "Maintenant je vais te le dire;
- mais j'ai besoin de toi,
- garde mes habits
- car ici…………………..
- moi, je ne sais
- d'où me vient
- de bâiller ainsi,
- ce qui est sûr, c'est que (gou=n)
- lorsque j'ai bâillé trois coups, je …………………… … …"
- Et, ayant dit cela
- il bailla une deuxième fois.
- et hurla de nouveau,
- comme auparavant.
- Donc, l'aubergiste, entendant cela
- et ajoutant foi aux paroles du voleur
- fut saisi de terreur,
- et se levant, il……….
- Mais le voleur, le saisissant
- par son vêtement, ……………
- ………… :
- "Reste
- et ……………………………..
- pour que je ne les perde pas."
[...] |
Les marques du locuteur (Fable du voleur)
Dans chacune des parties dialoguées, cliquer sur les marques du locuteur - pronoms personnels et désinences personnelles.
[...]
[...] | [...] - Et, ayant conversé
- un moment suffisant,
- le voleur se mit à bâiller et
- en même temps que le bâillement
- il se mit à hurler comme un loup.
- L' ……………………………. :
- "Pourquoi ……………. …… …"
- Et le ……………………. :
- "Maintenant je vais te le dire;
- mais j'ai besoin de toi,
- garde mes habits
- car ici…………………..
- moi, je ne sais
- d'où me vient
- de bâiller ainsi,
- ce qui est sûr, c'est que (gou=n)
- lorsque j'ai bâillé trois coups, je …………………… … …"
- Et, ayant dit cela
- il bailla une deuxième fois.
- et hurla de nouveau,
- comme auparavant.
- Donc, l'aubergiste, entendant cela
- et ajoutant foi aux paroles du voleur
- fut saisi de terreur,
- et se levant, il……….
- Mais le voleur, le saisissant
- par son vêtement, ……………
- ………… :
- "Reste
- et ……………………………..
- pour que je ne les perde pas."
[...] |
Les protagonistes (Le renard et le singe)
Cliquer sur les mentions des noms des deux protagonistes (le renard et le singe) et sur les pronoms qui les représentent.
Pour cela, faire attention aux marques de genre des articles définis et des pronoms.
| - Dans une assemblée des bêtes,
- un singe, ayant dansé
- et gagné leur faveur,
- fut élu roi par elles.
- Un renard fut jaloux de lui
- et, ayant vu dans un piège
- un morceau de viande,
- il y mena le singe en lui disant
- qu'il avait trouvé un trésor,
- mais qu'au lieu d'en user lui-même,
- il le lui avait gardé
- comme un apanage de la royauté,
- et il l'engagea à le prendre.
- Le singe s'en approcha étourdiment
- et fut pris par le piège ;
- comme il accusait le renard
- de lui avoir tendu un piège,
- celui-là répliqua : "O singe,
- sot comme tu es,
- tu veux régner sur les bêtes ?".
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Aoriste de l'indicatif (Le renard et le singe)
Cliquer sur les formes verbales d’aoriste de l’indicatif du texte. Les traduire littéralement et confronter avec la traduction d’E. Chambry.
| - Dans une assemblée des bêtes,
- un singe, ayant dansé
- et gagné leur faveur,
- fut élu roi par elles.
- Un renard fut jaloux de lui
- et, ayant vu dans un piège
- un morceau de viande,
- il y mena le singe en lui disant
- qu'il avait trouvé un trésor,
- mais qu'au lieu d'en user lui-même,
- il le lui avait gardé
- comme un apanage de la royauté,
- et il l'engagea à le prendre.
- Le singe s'en approcha étourdiment
- et fut pris par le piège ;
- comme il accusait le renard
- de lui avoir tendu un piège,
- celui-là répliqua : "O singe,
- sot comme tu es,
- tu veux régner sur les bêtes ?".
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Connecteurs du récit (Le renard et le singe)
Cliquer sur le connecteur qui marque la séparation des trois moments du récit.
À quoi servent les connecteurs me&n et de& des lignes 10 et 11 ?
| - Dans une assemblée des bêtes,
- un singe, ayant dansé
- et gagné leur faveur,
- fut élu roi par elles.
- Un renard fut jaloux de lui
- et, ayant vu dans un piège
- un morceau de viande,
- il y mena le singe en lui disant
- qu'il avait trouvé un trésor,
- mais qu'au lieu d'en user lui-même,
- il le lui avait gardé
- comme un apanage de la royauté,
- et il l'engagea à le prendre.
- Le singe s'en approcha étourdiment
- et fut pris par le piège ;
- comme il accusait le renard
- de lui avoir tendu un piège,
- celui-là répliqua : "O singe,
- sot comme tu es,
- tu veux régner sur les bêtes ?".
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Imparfait de l'indicatif (Le renard et le singe)
Cliquer sur les formes verbales d’imparfait de l’indicatif du texte. Les traduire littéralement et confronter avec la traduction d’E. Chambry.
| - Dans une assemblée des bêtes,
- un singe, ayant dansé
- et gagné leur faveur,
- fut élu roi par elles.
- Un renard fut jaloux de lui
- et, ayant vu dans un piège
- un morceau de viande,
- il y mena le singe en lui disant
- qu'il avait trouvé un trésor,
- mais qu'au lieu d'en user lui-même,
- il le lui avait gardé
- comme un apanage de la royauté,
- et il l'engagea à le prendre.
- Le singe s'en approcha étourdiment
- et fut pris par le piège ;
- comme il accusait le renard
- de lui avoir tendu un piège,
- celui-là répliqua : "O singe,
- sot comme tu es,
- tu veux régner sur les bêtes ?".
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Les verbes au participe (Démocrite - premiers hommes)
Cliquer sur les verbes au participe.
Rappel : les formes en –ontej sont des participes : nt , au nominatif pluriel : ej.
| - Les hommes d'alors étant remplis
- de simplicité et d'inexpérience,
- ils ne connaissaient ni aucune technique,
- ni l'agriculture ni rien d'autre,
- et ce qu'est la maladie ou la mort.
- ils ne le savaient pas.
- Pratiquant ……….une entraide de groupe,
- ils …………..leur vie
- à la façon des troupeaux, sortant à la pâture,
- se nourrissant communément
- de glands et de légumes.
- Et ils ………………. les uns des autres
- contre les bêtes sauvages,
- et <les> ………..ensemble, …….,
- à mains………. .
-
- Comme ils se trouvaient ainsi nus
- et qu'ils manquaient d'un abri et d'outils,
- et qu’ils ne savaient même pas rassembler
- fruits et glands dans des magasins,
- mais se bornaient à manger
- au jour le jour,
- une fois l'hiver venu,
- beaucoup ………….
- Puis, petit à petit,
- instruits par la nécessité,
- ils ………….dans les creux des arbres,
- dans les fourrés,
- dans les anfractuosités des rochers,
- et dans les grottes.
- Et ayant appris non sans peine à connaître
- ceux des fruits qui pouvaient être conservés,
- et les récoltant en une seule fois,
- ils les ……………….dans les cavernes,
- et s'en ……………pendant toute l'année.
- Vivant ensemble un tel destin,
- ils ………une existence simple,
- ordinaire et solidaire,
- loin de la connaissance du feu,
- ne possédant ni rois, ni magistrats,
- ni tyrans,
- ignorant les expéditions militaires,
- les violences et les pillages,
- mais sachant vivre
- seulement l'entraide et
- cette vie libre et ordinaire.
|
Les connecteurs entre phrases (Démocrite - premiers hommes)
Cliquer : - sur chaque connecteur (kai&, de& …) qui assure la liaison entre deux phrases.
- ainsi que sur les mots qui assurent la liaison, aux lignes 24 et 35.
| - Les hommes d'alors étant remplis
- de simplicité et d'inexpérience,
- ils ne connaissaient ni aucune technique,
- ni l'agriculture ni rien d'autre,
- et ce qu'est la maladie ou la mort.
- ils ne le savaient pas.
- Pratiquant ……….une entraide de groupe,
- ils …………..leur vie
- à la façon des troupeaux, sortant à la pâture,
- se nourrissant communément
- de glands et de légumes.
- Et ils ………………. les uns des autres
- contre les bêtes sauvages,
- et <les> ………..ensemble, …….,
- à mains………. .
-
- Comme ils se trouvaient ainsi nus
- et qu'ils manquaient d'un abri et d'outils,
- et qu’ils ne savaient même pas rassembler
- fruits et glands dans des magasins,
- mais se bornaient à manger
- au jour le jour,
- une fois l'hiver venu,
- beaucoup ………….
- Puis, petit à petit,
- instruits par la nécessité,
- ils ………….dans les creux des arbres,
- dans les fourrés,
- dans les anfractuosités des rochers,
- et dans les grottes.
- Et ayant appris non sans peine à connaître
- ceux des fruits qui pouvaient être conservés,
- et les récoltant en une seule fois,
- ils les ……………….dans les cavernes,
- et s'en ……………pendant toute l'année.
- Vivant ensemble un tel destin,
- ils ………une existence simple,
- ordinaire et solidaire,
- loin de la connaissance du feu,
- ne possédant ni rois, ni magistrats,
- ni tyrans,
- ignorant les expéditions militaires,
- les violences et les pillages,
- mais sachant vivre
- seulement l'entraide et
- cette vie libre et ordinaire.
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Propositions infinitives (Diodore - premiers hommes)
Sélectionnez les verbes à l'infinitif.
Ils dépendent presque tous d'un verbe sous-entendu "on dit que".
Ce sont les verbes de propositions infinitives, leurs sujets sont à l'accusatif, et les adjectifs ou participes en rapport avec ces sujets sont aussi à l’accusatif.
Les verbes au participe (Diodore - premiers hommes)
Sélectionnez les verbes au participe.
Introduction de phrases (Diodore - premiers hommes)
Cliquez sur les de\ qui introduisent des phrases (et non ceux qui introduisent des groupes, comme ceux des lignes 4-7, qui relient trois groupes adjectivaux).
Coordonnants (Diodore - premiers hommes)
Cliquez sur les kai& coordonnants qui relient deux groupes nominaux ou deux verbes d'une même phrase.
Ne pas oublier que, lorsque deux groupes sont reliés, il peut y avoir une paire de coordonnants ( kai& … kai&… ou te… kai&…).
Il ne faut pas sélectionner les kai& qui ouvrent une phrase, ni ceux qui ont un sens adverbial (« même, aussi »).
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- Description: exercices d'initiation au Grec Ancien. exercises interactifs, calcul et tracé de graphes en ligne
- Keywords: interactive mathematics, interactive math, server side interactivity, language, writing, greek